Quelques exemples de mes histoires érotiques persos !
- MON PATRON - Bonjour. J'ai lu ici une lettre à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m'a fait penser à mon cas personnel et m'a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d'un an dans une agence d'une grande entreprise d'assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières. Nous sommes 4 à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m'occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d'une cinquantaine d'années. Lors de mon entretien d'embauche, le chef en question a été très direct et m'a dit que j'avais le choix entre être payée le SMIC et un salaire de 15.000 frs brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m'a expliqué sans se démonter que je gagnerais les quinze mille si j'acceptais de venir travailler tous les jours en jupe... et sans culotte. Bien sûr, j'ai été d'abord soufflée du culot du type et j'ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d'aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m'a rattrapée et s'est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-même sans culotte sous leur jupe, qu'elles ne s'en portaient pas plus mal, et qu'il n'exigerait strictement rien de plus. Il m'a laissé jusqu'au lendemain pour réfléchir. Rentrée chez moi, j'ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu'indécente. Un fils de 8 ans à charge, j'étais au RMI depuis plus de six mois, et les 15.000 frs mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j'ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l'une de ses employées qui me raconte qu'effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c'est la condition pour bosser et qu'à part ça l'ambiance est sympa, Roger n'exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m'émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l'ambiance de travail. Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n'hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu'en effet... Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations. J'ai finalement accepté de tenter l'expérience, et j'ai effectivement été engagée à quinze mille francs (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m'avaient pas dit à l'époque c'était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j'ai pu m'en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu'il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c'est exact qu'il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd'hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d'autant plus que le fait d'avoir les fesses à l'air et de ressentir une main s'y balader de temps en temps me maintient dans un état d'excitation permanent très agréable. Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu'avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c'est d'ailleurs ce que j'ai pensé au début), mais il est des fois où ce "harcèlement" peut être très agréable, surtout s'il correspond à des fantasmes que l'on a, et si le chef est habile et sympa. Je suis sûre que d'autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d'expérience au boulot. J'espère que vous passerez ma lettre et bisous à tous les lecteurs.
- LEÇON DE YOGA - L'autre jour, à ma leçon hebdomadaire de yoga, j'ai connu un grand moment d'intensité sexuelle. Encore un grand moment, me direz-vous.. Yes yes yes... Heureuse fille que je suis; j'arrive toujours à faire feu de tous bois, et il est des fois ou plus le bois est vert et plus le feu est roi... Avec malice, j'ai réussi à convaincre mon prof que j'avais extrêmement besoin d'un supplément de cours, et je l'ai obtenu sans trop de difficulté. Nous nous sommes donc retrouvés seuls, après la fin du cours, dans la salle habituelle, qui est conçue pour servir également de salle de danse. Imaginez une grande pièce, aux murs garnis de barres, parquet à terre (recouverts de tapis quand les yogi sont dans la place), miroirs d'un côté, baie vitrée en face, murs blancs recouverts d'affiches pour des spectacles de danse entre les deux. Je me tenais debout dos au miroir, mon tapis à mes pieds, attendant les instructions que mon jeune et sémillant prof allait me donner, et je m'attachais à arborer l'attitude la moins équivoque possible: que les choses soient claires, je ne voulais surtout pas que ce jeune homme se méprenne sur mes intentions ou mette plus de 15 secondes à identifier mes véritables motifs... Cambrée comme jamais, l'oeil incendiaire, j'ai consciencieusement allumé mon ami yogi tandis qu'il faisait mine de s'intéresser à la façon dont je pliais les genoux ou faisais travailler mes articulations . Il avait la manie de s'aider de ses mains avec la plus grande convivialité, me touchant en des endroits parfois très osés sans paraître trouver cela déplacé.;Aïe aïe aïe ! quot;je me suis soudain écriée, "il y a quelque chose qui bloque là... Au niveau du col du fémur à peu près" Évidemment je mentais effrontément, mais mon cher prof, dénommé Théo, n'a guère mis de temps à trouver l'endroit concerné et une seconde après, faisant fi de notre soi-disant leçon, nous tombions sur le fin tapis d'exercice qui allait nous servir de matelas. J'étais légèrement en sueur et les sens très en alerte suite à mes efforts de l'heure précédente, tout mon corps se sentait super réceptif, comme si mes terminaisons nerveuses avaient été stimulées par l'exercice ... Ma peau se hérissait de chair de poule alors que je sentais ses mains se promener sur mon épiderme. Sans prévenir il s'est brusquement enhardi et a trouvé le chemin de mes seins, bien serrés sous un soutien-gorge spécial sport qui les fait paraître plus petits qu'ils ne sont en réalité. Il a défait l'engin et a libéré mes seins, qui ont jailli de leur prison comme le diable hors de sa boite. Aussitôt il a commencé à agacer mes petits tétons bien durs et puis a laissé redescendre ses paumes vers mes hanches. Cambrée au maximum, je sentais contre mes fesses sa queue déjà bien dure. Je savais que c'était tout à fait le style à se taper toutes ses élèves, un homme facile en somme, mais il est tellement bon parfois de croquer un tel fruit! J'ai remué lentement le bassin, me frottant de plus en plus fort, puis je me suis retournée, faisant à présent face au miroir. J'ai commencé à caresser tout son corps sans oublier ses fesses bien rondes et musclées qui se dessinaient bien sous le pantalon. Vous voulez que je vous dise? Je tirais autant de plaisir de les sentir dans mes mains que du spectacle que m'en donnait le miroir. D'un geste vif j'ai baissé son fute. Il était complètement épilé, ce qui était assez surprenant. A part dans le milieu du porno, je ne connais guère d'hommes de la rue hétérosexuels qui pratiquent le lisse intégral... Mais revenons à notre mouton, qui en l'occurrence était une belle queue bien grosse et bien rectiligne. Un sucre d'orge bien appétissant. N'écoutant que mon instinct, je suis tombée à ses genoux pour goûter sa queue. Il caressant doucement ma nuque, sans vraiment guider mon mouvement, me laissant aller à mon rythme. J'ai commencé par lécher son gland pour bien le recouvrir de salive puis je l'ai englouti dans ma bouche, trouvant de suite une cadence qui nous convenait à tous les deux. Après quelques secondes de ce traitement sa queue a encore augmenté de volume. Elle était vraiment très grosse, les veines n'étaient pas très apparentes, et la peau en était douce. Quand elle a atteint sa taille optimale (ou ce que je tenais du moins pour tel) je devais, pour bien la sucer, ouvrir les mâchoires au maximum, les lèvres arrondies en un O d'émerveillement. J'ai légèrement écarté mes cuisses l'une de l'autre, puis je les ai rapprochées. La pression ainsi exercée sur mon clitoris était hautement érotisante, et je savais que j'étais déjà bien trempée. Ensuite Théo m'a faite me relever et écarter largement les jambes, fesses vers le miroir. Me débarrassant de mes vêtements, il a glissé la main le long de ma chatte brûlante puis a écarté les deux globes de mes fesses de ses paumes, révèlant au miroir mon intimité la plus secrète. En mettant mon buste à angle droit de mes jambes et en me baissant légèrement, je pouvais voir mon propre reflet dans la glace, et aussi ce que les mains de Théo me faisaient. C'était encore plus excitant. Ses doigts faisaient un lancinant va-et-vient entre mes petites lèvres et mon clito, ne lâchant l'un que pour mieux aller titiller les autres. Ma main droite a rejoint la sienne et je me suis donné un petit coup de boost qui m'a presque envoyée au plafond. J'avais de plus en plus de mal à rester en équilibre sur mes jambes, d'autant que la bouche de Théo avait rejoint ses doigts, et que de sa langue il me caressait désormais avec une maîtrise consommée. Il s'en tirait très bien aussi (on n'avait pas dû lui apprendre que le yoga mais aussi le kamasutra en Inde...) et assez vite j'ai eu l'impression que j'allais jouir... Seulement il ne l'entendait pas de cette oreille, et après avoir entendu mes cris, donc, il a changé de tactique, enfonçant d'abord deux doigts puis trois dans ma chatte complètement trempée de mouille et de salive. La friction était démoniaque, et le fait de jeter de temps à autre un regard de biais au miroir ne faisait qu'augmenter mon excitation. J'avais envie de le sucer encore, et aussi de m'empaler sur lui, voire même de le sucer tout en m'empalant sur lui... humm si les clones existaient.... Enfin... Je me suis dégagée de sa caresse qui dégrénerait trop vite à mon goût alors que j'avais encore envie de m'amuser avec lui, et lui faisant face je l'ai embrassé à pleine bouche, me serrant contre lui et caressant sa queue d'une main fiévreuse. Je tenais la hampe serrée dans ma paume et caressais son gland de mon pouce. Je sentais sa queue toute entière palpiter, vibrer sous mes doigts, et ça me mettait dans tous mes états. Je me suis retournée vers notre complice le miroir et ce spectacle inhabituel m'a fait soupirer, l'oeil à demi clos et le sein dressé. Je le branlais doucement, puis plus vite, puis doucement à nouveau, décalottant bien son gland puis m'appliquant à le recouvrir, avant de le dénuder à nouveau. Puis ma main a été chercher ses couilles, les ramassant en petit paquet avant de les lâcher, recommençant deux ou trois fois avant de retourner vers sa queue... J'ai tendance à me laisser facilement hypnotiser par une belle queue, finalement... Soudain mon yogi a eu envie de passer aux choses sérieuses, et je veux bien croire que le précédent spectacle de ma croupe largement offerte, surplombant mes longues jambes écartées et tendues au maximum, l'ait quelque peu échauffé lui aussi. D'un geste assez brusque il m'a fait m'étendre sur le fin tapis qui nous protégeait du parquet bien dur, et il a complètement ouvert les cuisses, étendant ma jambe gauche alors qu'il repliait l'autre vers ma propre épaule. Il a appuyé sa paume sur l'intérieur de mon genoux et a fait pression, doucement mais sûrement. Je me sentais légèrement contrainte, car je suis naturellement assez souple, et cette sensation n'était pas désagréable. Je crois même que ça m'excitait encore davantage. Je me sentais de plus en plus hot, j'avais envie d'être prise, de sentir en moi cette queue énorme que j'avais pris précédemment tant de plaisir à sucer. Il y avait dans toute l'histoire quelque chose d'incroyablement torride, et pourtant ça me semblait aussi pur et sain que possible. N'y tenant plus, j'ai attrapé ses adorables fesses rondes et pommelées et je l'ai attiré contre moi. Le poids de son corps portait davantage sur ma jambe gauche, et il avait calé son épaule à l'intérieur de mon genoux droit, faisant jouer ce mystérieux mécanisme qui me faisait me sentir de plus en plus émue au fur et à mesure que j'était écartelée. Il a passé son gland le long de ma chatte trempée, a fait plusieurs fois le tour de mon clito bien gonflé par le désir, puis d'un seul grand coup il a enfoncé sa queue bien au fond de mon vagin brûlant. Aussitôt il a commencé à me pilonner à grands mouvements amples et puissants, faisant naître au creux de mon ventre une tornade de plaisir. Je nous voyais dans le miroir, et parfois je croisais le regard de mon fougueux amant d'un soir. J'ai crispé les mains sur ses reins, l'attirant plus loin et plus vite en moi... Il me défonçait littéralement à présent; cette sensation sauvage d'être remplie puis brutalement abandonnée puis remplie à nouveau me donnait envie de crier, de ne plus chercher à retenir ma jouissance et de me laisser aller au plaisir sensationnel qui était le mien. Je crois qu'il ressentait la même chose car il avait aussi l'air d'avoir très envie de jouir. Aucun d'entre nous n'avait plus envie d'attendre ou de se retenir pour attendre l'autre, qui n'était après tout qu'un obscur inconnu; mais puisque la nature avait bien voulu être de notre côté cette fois et nous prêter une complicité artificielle de bon aloi, autant en profiter!! Oubliant toute notion de discrétion , je me suis mise à hurler mon plaisir en recevant les derniers coups de boutoir de celui qui n'allait pas tarder à faire comme moi. Il s'est mordu la lèvre et a abaissé sa tête contre mon épaule, animé de quelques soubresauts. Puis, brusquement, d'un mouvements souple mais vif, il s'est relevé, et a remonté son pantalon . J'ai tâché de me rhabiller le plus rapidement possible également, car une demi-heure s'était écoulée, et le cours suivant allait commencer. Nous nous sommes séparés sans un mot. A vrai dire, je ne sais même pas par quel miracle personne n'est venu nous interrompre dans le feu de l'action. Quoi qu'il en soit, je vais essayer de laisser la place à une copine la semaine prochaine!
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